Produits dérivés de Parcs Canada - votre achat contribue à la conservation!

Les produits dérivés officiels de Parcs Canada ont été créés pour que les Canadiens et Canadiennes puissent exprimer leur fierté et leur soutien envers les espaces naturels et les lieux patrimoniaux de leur pays.

La population canadienne et les visiteurs internationaux peuvent acheter des produits dérivés officiels de Parcs Canada de plusieurs façons : en ligne sur la Boutique Parcs Canada ou dans des magasins détenus et gérés par Parcs Canada ou d'autres détaillants.

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Depuis 2017, Parcs Canada réinvestit 100% de ses profits réalisés grâce à la vente de produits dérivés dans des programmes et des projets de conservation dans les sites gérés par Parcs Canada. Voici quelques-uns des projets.


Garder les chèvres de montagne à l’écart de la route dans les parcs nationaux du Mont-Revelstoke et des Glaciers (2023)

Les phares d’un véhicule stationné éclairent un troupeau de chèvres de montagne sur le côté d’une autoroute vide au crépuscule.
Chèvres de montagne sur la Transcanadienne.

En 2023, les revenus provenant des ventes en ligne appuient les efforts visant à réduire la mortalité des chèvres de montagne sur la route Transcanadienne traversant les parcs nationaux du Mont-Revelstoke et des Glaciers. On sait que les chèvres de montagne descendent jusqu’à l’autoroute pour lécher le sel, un minéral essentiel à une alimentation saine pour ce mammifère. Pour empêcher les chèvres de se rendre jusqu’à la route, Parcs Canada installe des pierres à lécher (sel destiné à la consommation animale) dans des endroits plus sécuritaires le long de leurs sentiers habituels. Il ne s’agit qu’une des mesures prises par les écologistes de Parcs Canada pour assurer la sécurité des chèvres de montagne le long de la route Transcanadienne et relier leurs corridors naturels.

Comprendre les requins autour de la réserve de parc national des Îles-Gulf (2022)

Un requin bleu nage dans l’océan Pacifique.  

En 2022, les achats en ligne appuieront la recherche sur les espèces de requins présentes autour de la réserve de parc national des Îles-Gulf. Avec environ seize espèces de requins dans les eaux de la Colombie-Britannique, des séquences vidéo sous-marines aideront les écologistes à mieux comprendre quelles espèces visitent les îles. Le changement climatique a un impact important sur les dynamiques marines. La connaissance des requins vivant dans les eaux canadiennes nous permettra de mieux comprendre comment protéger l’ensemble de l’écosystème marin.

Mieux cohabiter avec les bélugas au Saguenay–Saint-Laurent (2021)

Un béluga sortant verticalement de l’eau.

En 2021, les achats appuient l’observation scientifique du béluga du Saint-Laurent au parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Postée sur la rive, l’équipe de recherche de Parcs Canada étudie le comportement d’alimentation, de socialisation et de repos de cette espèce en péril. Elle dresse également un portrait du trafic de bateaux récréatifs et navires. Ces observations visent à mieux connaitre l’habitat essentiel du béluga afin de mettre en place des mesures de conservation efficaces.

Feux pour la faune dans les prairies (2020)

Un employé de Parcs Canada marche près d'un feu dirigé dans la prairie.

Au parc national des Prairies, les feux dirigés ont amélioré l'habitat des prairies pour les oiseaux et certaines espèces emblématiques des prairies, notamment le bison et le très mignon (et menacé) chien de prairie à queue noire. Les feux dirigés aident à restaurer la biodiversité des prairies et à réduire les herbes inflammables qui contribuent à des incendies incontrôlables.

Le saumon kokani de Kluane (2019)

Rivière Kathleen.
La rivière Kathleen, au parc national et réserve de parc national Kluane. Le saumon kokani passe par toutes les étapes de son cycle de vie sans quitter l'eau douce du réseau hydrographique du lac Kathleen.

Dans le parc national et réserve de parc national Kluane, les profits ont permis de financer la recherche génétique sur le saumon kokani afin de déterminer des options de rétablissement viables. Parcs Canada s'inquiète de la diminution des effectifs et de la santé génétique de la population actuelle.

Les tortues de la Pointe-Pelée (2017)

Un employé de Parcs Canada montre une tortue peinte à une jeune fille.

Le parc national de la Pointe-Pelée a demandé l'aide d'experts qui ont recommandé de nouvelles mesures pour rendre l'habitat local plus sûr pour les tortues, ce qui profitera également aux serpents, aux grenouilles, aux crapauds et au scinque pentaligne, un petit lézard bien connu dans la région.

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