Fondée en 1850, cette communauté est l’une des premières à œuvrer auprès des filles et des femmes exclues de la société pour avoir contrevenu aux normes de l’époque. S’inspirant des méthodes de réinsertion sociale les plus avancées des XIXe et XXe siècles, ces religieuses créent un réseau d’aide, notamment pour les mères célibataires et leurs enfants, et prodiguent des soins périnatals et de rééducation basés sur les progrès dans ces domaines. Guidées par la charité chrétienne, elles comblent des lacunes du système public et combattent difficultés financières et préjugés pour assister un groupe qui, sans elles, aurait peu de recours.